Take a photo of a barcode or cover
Perhaps if the translator had used less thesaurus sounding synonyms for words that could have been expressed just as elegantly and meaningfully through more common alternatives I would rate this higher. The main character is unlikeable- I'm not sure if that's by design. Descriptions of food are well done, but aside from that, notes regarding relationships and other life events are quite confusing and convoluted.
Overall, too much fluffy language and toxic masculinity.
Overall, too much fluffy language and toxic masculinity.
Wandered my way over to this book as a certain manga, Toriko, made me want to read about food. A solid read in regards to that, I drooled a little. Took a bit to put the different voices together, would have wanted some more from each of them since I feel like I missed out on some. Fairly satisfied with how each one provided something to complete the picture of the lead.
I loved Elegance of a Hedgehog and wasn't expecting as much from this one - especially considering it's only about 150 pages. Was pleasantly surprised. It's lovely. Excellent language and pitch perfect characters. Wonderful portraits of food as this dying man recounts his favorite meals trying to remember a particular flavor. His life story is told through his reminiscing and through the thoughts of those gathered around him. Not particularly meaty as a novel - more like a long short story - but it doesn't feel long or short. A satisfying snack of a book.
The characters are less relatable than those in the Elegance of the Hedgehog, and the narrative can be a little harder to follow because of the near constant switching of perspective, even to completely unknown characters, and once, to an inanimate object. That said, the language in this book is amazing. The descriptions of food are lavish, and I spent the entire 160 pages starving.
att läsa för att det är kul.
det är sånt här jag tänker på när jag säger att jag vill läsa böcker som berättar en historia på ett helt annat sätt än vad man är van vid. ge mig inte en gammal matkritikers livshistoria och relationsproblem i en perfekt följandes en novellkurva; ge mig det i överdrivet detaljerade smakupplevelser pånyttfödda på dödsbädden varvat med avsked från nära och kära. chefs kiss.
det är sånt här jag tänker på när jag säger att jag vill läsa böcker som berättar en historia på ett helt annat sätt än vad man är van vid. ge mig inte en gammal matkritikers livshistoria och relationsproblem i en perfekt följandes en novellkurva; ge mig det i överdrivet detaljerade smakupplevelser pånyttfödda på dödsbädden varvat med avsked från nära och kära. chefs kiss.
C’est un très bel exercice de style.
L’écriture est incroyable. Toutes les descriptions, et surtout celles de la nourriture évidemment, sont simples et complexes. Les mots choisis ne font pas partie de mon vocabulaire et pourtant ils semblent évidents quand ils sont là, sur la page.
J’ai trouvé intéressant que le personnage principal ne deviennent jamais sympathique à nos yeux, même si certains des autres narrateurs le mettent en valeur et qu’au fur et à mesure de ses souvenirs, on apprend à vraiment le connaître. J’avais envie qu’il meure avant de trouver l’objet de son désir. Niark.
J’ai toujours ouvert ce livre avec plaisir, même en sachant que j’allais juste y trouver plus de descriptions de nourriture et divers personnages sur lesquels on ne fait que passer. D’habitude il me faut une intrigue pour m’accrocher mais là les mots ont suffit. J’aimerais l’étudier en détails pour comprendre comment des phrases si longues peuvent être si simple à comprendre.
Mais ça ne sera jamais un coup de coeur (comme l’Elégance du Hérisson l’est. Désolée à un moment il faut bien que j’y fasse référence) parce que ça fait exercice de style: l’alternance entre les chapitres, le personnage antipathique, les autres narrateurs avec leur narration typique, la description des plats. C’est parfaitement réalisé et je veux tout savoir des rouages, mais ce n’est pas vraiment une histoire. Il y aurait pu y avoir un dénouement magistral qui nous auraient poussé à vouloir tout relire pour trouver les indices, il y aurait pu avoir des échos entre les narrateurs secondaires, il y aurait pu y avoir plus de philosophie.
L’écriture est incroyable. Toutes les descriptions, et surtout celles de la nourriture évidemment, sont simples et complexes. Les mots choisis ne font pas partie de mon vocabulaire et pourtant ils semblent évidents quand ils sont là, sur la page.
J’ai trouvé intéressant que le personnage principal ne deviennent jamais sympathique à nos yeux, même si certains des autres narrateurs le mettent en valeur et qu’au fur et à mesure de ses souvenirs, on apprend à vraiment le connaître. J’avais envie qu’il meure avant de trouver l’objet de son désir. Niark.
J’ai toujours ouvert ce livre avec plaisir, même en sachant que j’allais juste y trouver plus de descriptions de nourriture et divers personnages sur lesquels on ne fait que passer. D’habitude il me faut une intrigue pour m’accrocher mais là les mots ont suffit. J’aimerais l’étudier en détails pour comprendre comment des phrases si longues peuvent être si simple à comprendre.
Mais ça ne sera jamais un coup de coeur (comme l’Elégance du Hérisson l’est. Désolée à un moment il faut bien que j’y fasse référence) parce que ça fait exercice de style: l’alternance entre les chapitres, le personnage antipathique, les autres narrateurs avec leur narration typique, la description des plats. C’est parfaitement réalisé et je veux tout savoir des rouages, mais ce n’est pas vraiment une histoire. Il y aurait pu y avoir un dénouement magistral qui nous auraient poussé à vouloir tout relire pour trouver les indices, il y aurait pu avoir des échos entre les narrateurs secondaires, il y aurait pu y avoir plus de philosophie.
Spoiler
LA CHOUQUETTE. LA. CHOUQUETTE. DE. SUPERMARCHE. Oui, evidemment. 100% d’accord. Au moins ce livre aura résolu le dilemme du dernier repas pour moi.
Is it possible to like a book without liking the main character? I'm not sure. I kept waiting for the chapter that would offer me a reason to develop some affection for Pierre Arthens. Maybe that was the purpose of the book, to show that pursuit of perfection and beauty at the cost of humanity is a terrible kind of poverty. If so, mission accomplished. Still, I can't imagine picking this one up again or recommending it. I was not engaged in the story - my only motivation to keep reading was the thought that the author couldn't possibly want me to hate her protagonist this much. I was curious to see how she would attempt to make me like him. In the end, she made no such attempt.