Scan barcode
A review by lessidisa
Un bébé pour Rosemary by Ira Levin
3.0
J'ai beaucoup aimé les trois-quarts de ce livre, qui est un roman de gare normal qui se déroule à New-York. Les livres new-yorkais se font rares de mon côté et sont toujours appréciables. Ensuite je n'ai pas du tout été intéressée par la partie sataniste, je fais certainement bien de ne pas lire de livres du genre fantastique, ici je n'ai pas accroché.
- Pour un premier enfant, vous examinez toujours la mère une fois par semaine ?
- J'essaie de le faire, dit-il. Je n'y arrive pas toujours. Vous n'avez rien d'anormal, Rosemary. Cette douleur ne va plus tarder à disparaître.
- Je me mets à manger de la viande crue, dit-elle. A peine réchauffée.
- Rien d'autre d'extraordinaire ?
- Non, dit-elle, dépitée. (Est-ce que ce n'était pas suffisant ?)
En 1994, dans son tout dernier livre, Pulp, paru quelques jours avant sa mort, Charles Bukowski, laisse la dédicace suivante : « À la littérature de gare ».
- Pour un premier enfant, vous examinez toujours la mère une fois par semaine ?
- J'essaie de le faire, dit-il. Je n'y arrive pas toujours. Vous n'avez rien d'anormal, Rosemary. Cette douleur ne va plus tarder à disparaître.
- Je me mets à manger de la viande crue, dit-elle. A peine réchauffée.
- Rien d'autre d'extraordinaire ?
- Non, dit-elle, dépitée. (Est-ce que ce n'était pas suffisant ?)
En 1994, dans son tout dernier livre, Pulp, paru quelques jours avant sa mort, Charles Bukowski, laisse la dédicace suivante : « À la littérature de gare ».