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A review by ernestleberbe
Nausicaä de la vallée du vent, Tome 03 by Hayao Miyazaki
3.0
Je ne vais pas continuer à relater les évènements qui prennent lieu ici, car il s'agit surtout de guerre parfois un peu confuse, et que ce n'est pas là vraiment que réside l'intérêt de l'oeuvre à mes yeux.
Dans ce tome-ci, on découvre brièvement qu'il existe un peuple qui vit en harmonie avec la forêt, dans la Mer de Décomposition. Ils utilisent les ressources naturelles et vivent en paix avec les insectes. C'est un concept qui n'est pas du tout présent dans le film et qui est pourtant intéressant, car il brise l'image de la Mer étant une fatalité inexorable de contamination qui détruit tout. C'est une confirmation de ce que Nausicaa pressentait et avait testé dans sa petite alcôve où elle faisait grandir des plantes comme il en pousse dans la Mer. Il est possible d'y survivre, il est possible d'y vivre, il est même possible d'en vivre. Pourquoi donc tant de combats contre elle, tant de destruction et d'antagonismes? Bien que discret, cet aspect de fable écologique est impressionnant quand on sait que l'oeuvre date du milieu des années 80.
Le second aspect à retenir est le character development de Nausicaa; à maintes reprises dans ce tome, on la voit venir en aide à ceux que les autres considèrent ennemis ou non dignes d'aide (insectes, soldats dorks, réfugiés civils, etc). Nausicaa, unlike everyone else, fait preuve de bonté, d'abnégation, de sacrifice. Et on comprend que c'est ce qui la rend spéciale; c'est ce qui fait que des personnages de tous les camps lui viennent en aide; c'est ce qui fait qu'elle puisse contrecarrer les attaques télépathiques du frère de l'Empereur Dork; c'est ce qui fait d'elle l'être vêtu de bleu de la prophétie. Dans un monde où tout s'entretue, Nausicaa veut coopérer.
Mis à part ces deux highlights, ce tome continue le récit d'action Thorgalien comme avant, ce que je ne vais pas détailler comme j'ai dit. 3.5/5
Dans ce tome-ci, on découvre brièvement qu'il existe un peuple qui vit en harmonie avec la forêt, dans la Mer de Décomposition. Ils utilisent les ressources naturelles et vivent en paix avec les insectes. C'est un concept qui n'est pas du tout présent dans le film et qui est pourtant intéressant, car il brise l'image de la Mer étant une fatalité inexorable de contamination qui détruit tout. C'est une confirmation de ce que Nausicaa pressentait et avait testé dans sa petite alcôve où elle faisait grandir des plantes comme il en pousse dans la Mer. Il est possible d'y survivre, il est possible d'y vivre, il est même possible d'en vivre. Pourquoi donc tant de combats contre elle, tant de destruction et d'antagonismes? Bien que discret, cet aspect de fable écologique est impressionnant quand on sait que l'oeuvre date du milieu des années 80.
Le second aspect à retenir est le character development de Nausicaa; à maintes reprises dans ce tome, on la voit venir en aide à ceux que les autres considèrent ennemis ou non dignes d'aide (insectes, soldats dorks, réfugiés civils, etc). Nausicaa, unlike everyone else, fait preuve de bonté, d'abnégation, de sacrifice. Et on comprend que c'est ce qui la rend spéciale; c'est ce qui fait que des personnages de tous les camps lui viennent en aide; c'est ce qui fait qu'elle puisse contrecarrer les attaques télépathiques du frère de l'Empereur Dork; c'est ce qui fait d'elle l'être vêtu de bleu de la prophétie. Dans un monde où tout s'entretue, Nausicaa veut coopérer.
Mis à part ces deux highlights, ce tome continue le récit d'action Thorgalien comme avant, ce que je ne vais pas détailler comme j'ai dit. 3.5/5