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elisascrive's review against another edition
challenging
dark
reflective
fast-paced
- Plot- or character-driven? Character
- Strong character development? It's complicated
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? It's complicated
4.0
Ogni libro che leggo di Volodine mi lascia alla fine un senso di impermeabilità rispetto a ciò che scrive, che in parte mi affascina ma penso sia il motivo per cui nessuno dei suoi romanzi per ora ha avuto 5 stelle da me.
Angeli minori è una collezione trainata dalle fantasie e dai sognidi Will Scheidmann e di tutti gli accessori alla sua (non) esistenza. Qui il tempo è liquido, il mondo esiste come idea ma non come pratica, l’umanità è quasi finita eccetto per qualche vecchia immortale, lui e qualche altro personaggio che forse in realtà è sempre lui.
È un romanzo-non-romanzo che ti fa pensare. Che ti rimane sotto la pelle e ti fa chiedere se quello che vivi davvero è reale o è solo il sogno di qualcun altro.
Angeli minori è una collezione trainata dalle fantasie e dai sogni
È un romanzo-non-romanzo che ti fa pensare. Che ti rimane sotto la pelle e ti fa chiedere se quello che vivi davvero è reale o è solo il sogno di qualcun altro.
gggggggg_g's review against another edition
5.0
"Minor Angels" is a series of 49 vignettes, or "narracts," an invented genre. They tell of immortal women witnessing the end of the world. Beautiful and haunting, deeply intricate, and a slow, ponderous read. Stump's forward in this edition is fantastic. He does a brilliant job of breaking down Volodine's literary "postexotic" writing style. It's a very good start for anyone interested in his novels. It's also a worthy reread; the narracts create a deeply layered world that will only evolve with more time spent amongst its pages.
jessicapc's review against another edition
4.0
Des histoires courtes mais un livre dense, avec des fulgurances poétiques et engagées. Un univers ravagé et dont le sens parfois échappe, des chamanes, des rêveries et des illusions.
beepbeepbooks's review against another edition
dark
mysterious
reflective
sad
medium-paced
- Plot- or character-driven? Plot
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? Yes
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? No
4.0
very cool
ianlumsden's review against another edition
adventurous
challenging
dark
emotional
funny
hopeful
inspiring
lighthearted
mysterious
reflective
relaxing
sad
tense
fast-paced
- Plot- or character-driven? Character
- Strong character development? It's complicated
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? Yes
4.25
estellegodard's review against another edition
slow-paced
1.0
this joins the top spots for worst books I’ve ever read. it was a pure displeasure the whole way through and I have to draw the line at this sort of experimental writing…there needs to be a semblance of rhyme or reason , and there was simply not.
soeryan's review against another edition
dark
mysterious
reflective
fast-paced
- Plot- or character-driven? Character
- Strong character development? No
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? Yes
4.5
mizlitterature's review against another edition
3.0
Alors, dimanche, je vous ai dit: «Je ne saurais vraiment pas quoi en dire là, tout de suite. On s'en reparle dans quelques jours, deal?», donc je dois tenir ma promesse. Même si ce que je voulais en dire ne s'est pas clarifié dans mon esprit.
Avant tout, le titre. Qu'est-ce que ça mange en hiver des «anges mineurs»? Est-ce qu'on parle d'anges qui travaillent dans les mines, ou d'anges qui n'ont pas l'âge légal pour sortir dans les bars? Ni l'un ni l'autre, en fait. C'est le titre poétique d'un romance de tiroir écrite autrefois par Maria Clementi, qui a suggéré à Will Scheidmann de le reprendre pour doter son tas de narrats d'un titre. Ok, et Maria Clementi, c'est qui? Un personnage du livre. Et Will Scheidmann? Aussi. Et un narrat? Volodine dit que c'est «un texte post-exotique à cent pour cent, [...] des instantanés romanesques qui fixent une situation, des émotions, un conflit vibrant entre mémoire et réalité, entre imaginaire et souvenir.» Scheidmann dit que c'est un récit délirant qu'il a fait alors qu'il était attaché à un poteau, condamné à mort et saoul au lait de chamelle fermenté. Ses multiples grands-mères disent que ce sont le récit décousu de leurs souvenirs, que seul Will peut faire, ce qui les empêchent de l'exécuter pour avoir signé le rétablissement du capitalisme.
Ouain, mais c'est quoi exactement le courant post-exotique? Un truc que Volodine a inventé pour que son livre paraisse bien. Est-ce que ça a fonctionné? Bah, moi je trouve ça pas pire. Il y a même une page Wikipédia là-dessus. Signe incontestable de succès. Ça se peut du lait de chamelle fermenté? Oui, puisqu'on peut en faire du fromage. Il y a aussi une page Wikipédia là-dessus. Est-ce que c'est vrai que ça rend saoul? Je ne sais pas, j'ai lu l'article en diagonale. À vous de me le dire. Et avoir des multiples grands-mères? Bin, quand elles te façonnent avec du tissus et te mettent en terre pour te faire grandir, je trouve que ce serait malpoli de n'en élire que deux. Et une seule signature pourrait rétablir quelque chose dont on s'est débarrassé parce que c'était trop ignoble? On connaît tous un dirigeant qui aime beaucoup y croire.
Maintenant, le narrateur. Il dit «je» tout le temps et change de nom à chaque narrat, mais dans le fond, on le sait que c'est juste Will qui s'emmerde et qui attend depuis trois ans que ses grands-mères visent un peu mieux quand elles tirent à la carabine à 250 mètres de leur cible ligotée.
Finalement, l'histoire. Des anges mineurs, en fait, c'est «juste» Will Scheidmann qui veut aller voir Enzo Mardirossian parce qu'il pleure mal et qu'il veut être réparé.
«Disons cela et n'en parlons plus.»
Avant tout, le titre. Qu'est-ce que ça mange en hiver des «anges mineurs»? Est-ce qu'on parle d'anges qui travaillent dans les mines, ou d'anges qui n'ont pas l'âge légal pour sortir dans les bars? Ni l'un ni l'autre, en fait. C'est le titre poétique d'un romance de tiroir écrite autrefois par Maria Clementi, qui a suggéré à Will Scheidmann de le reprendre pour doter son tas de narrats d'un titre. Ok, et Maria Clementi, c'est qui? Un personnage du livre. Et Will Scheidmann? Aussi. Et un narrat? Volodine dit que c'est «un texte post-exotique à cent pour cent, [...] des instantanés romanesques qui fixent une situation, des émotions, un conflit vibrant entre mémoire et réalité, entre imaginaire et souvenir.» Scheidmann dit que c'est un récit délirant qu'il a fait alors qu'il était attaché à un poteau, condamné à mort et saoul au lait de chamelle fermenté. Ses multiples grands-mères disent que ce sont le récit décousu de leurs souvenirs, que seul Will peut faire, ce qui les empêchent de l'exécuter pour avoir signé le rétablissement du capitalisme.
Ouain, mais c'est quoi exactement le courant post-exotique? Un truc que Volodine a inventé pour que son livre paraisse bien. Est-ce que ça a fonctionné? Bah, moi je trouve ça pas pire. Il y a même une page Wikipédia là-dessus. Signe incontestable de succès. Ça se peut du lait de chamelle fermenté? Oui, puisqu'on peut en faire du fromage. Il y a aussi une page Wikipédia là-dessus. Est-ce que c'est vrai que ça rend saoul? Je ne sais pas, j'ai lu l'article en diagonale. À vous de me le dire. Et avoir des multiples grands-mères? Bin, quand elles te façonnent avec du tissus et te mettent en terre pour te faire grandir, je trouve que ce serait malpoli de n'en élire que deux. Et une seule signature pourrait rétablir quelque chose dont on s'est débarrassé parce que c'était trop ignoble? On connaît tous un dirigeant qui aime beaucoup y croire.
Maintenant, le narrateur. Il dit «je» tout le temps et change de nom à chaque narrat, mais dans le fond, on le sait que c'est juste Will qui s'emmerde et qui attend depuis trois ans que ses grands-mères visent un peu mieux quand elles tirent à la carabine à 250 mètres de leur cible ligotée.
Finalement, l'histoire. Des anges mineurs, en fait, c'est «juste» Will Scheidmann qui veut aller voir Enzo Mardirossian parce qu'il pleure mal et qu'il veut être réparé.
«Disons cela et n'en parlons plus.»
jmccyoung's review against another edition
4.0
Very strange but captivating book, beautifully written (or translated). One word of advice: don't give up before you're half-way through because the center chapter helps put it all into context.
giovanni84's review against another edition
3.0
Una struttura narrativa particolare, che si rifà al modello dei racconti con una "cornice", ma in un modo tutto suo.
Un'ambientazione post-apocalittica, ma anche questa è particolare, diversa da qualunque altra post-catastrofe sia stata raccontata.
Atmosfere oniriche, ma non manca anche una certa concretezza.
Malinconia e cupezza, ma anche un certo tocco di umorismo.
Quarantanove "capitoli" molto brevi, ed una scrittura elegante, che scorre perfettamente nonostante la stranezza del tutto.
E' il primo libro di Volodine che leggo, ma mi è sufficiente per dire che questo è uno scrittore di razza, con un proprio personale stile e cose da raccontare.
Ed è un libro che ho apprezzato molto.... ma, ad essere sincero, faccio fatica ora a ricordare più di tre "immagini" e storie. E ce ne sono molte!
Così come mentirei se dicessi che mi ha emozionato. E, ad essere sincero, verso la fine mi ha anche annoiato.
Non so bene perché. Forse è un po' troppo frammentato. Forse è il tipo di libro che si ama davvero ad una seconda lettura. O forse sono stato poco ricettivo io.
Un'ambientazione post-apocalittica, ma anche questa è particolare, diversa da qualunque altra post-catastrofe sia stata raccontata.
Atmosfere oniriche, ma non manca anche una certa concretezza.
Malinconia e cupezza, ma anche un certo tocco di umorismo.
Quarantanove "capitoli" molto brevi, ed una scrittura elegante, che scorre perfettamente nonostante la stranezza del tutto.
E' il primo libro di Volodine che leggo, ma mi è sufficiente per dire che questo è uno scrittore di razza, con un proprio personale stile e cose da raccontare.
Ed è un libro che ho apprezzato molto.... ma, ad essere sincero, faccio fatica ora a ricordare più di tre "immagini" e storie. E ce ne sono molte!
Così come mentirei se dicessi che mi ha emozionato. E, ad essere sincero, verso la fine mi ha anche annoiato.
Non so bene perché. Forse è un po' troppo frammentato. Forse è il tipo di libro che si ama davvero ad una seconda lettura. O forse sono stato poco ricettivo io.