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Pasquale's Angel by Paul J. McAuley

riduidel's review against another edition

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2.0

Les conjurés de Florence est une uchronie dans la Florence de Léonard de Vinci. Une Florence assez différente puisque Vinci n’y a jamais peint la moindre toile, mais s’est consacré au contraire à la science, ce qui donne des inventions assez loufoques (souvent), parfois utiles, mais surtout qui n’apportent somme toute pas grand chose à l’histoire. Car, pour le dire clairement, l’uchronie n’a ici aucune espèce d’intérêt. On y croise bien sûr, de manière anecdotique, une ou deux scènes qui peuvent éventuellement présenter de l’intérêt, mais jamais grâce au pas de côté que doit mettre en valeur ce genre science-fictif.

En effet, contrairement à un roman comme [b:les confessions d’un automate mangeur d’opium], ou le cycle de [b:l’âge de la déraison|344754|Newton's Cannon (Age of Unreason, Book 1)|Greg Keyes|http://photo.goodreads.com/books/1223675378s/344754.jpg|88708], les éléments proprement uchroniques (comme les inventions sociales ou technologiques) n’apportent pas de bouleversement dans l’intrigue du roman, ni même dans les relations sociales entre les différents protagonistes du récit. Bien au contraire, ce sont des éléments proches du fantastique (les visions du héros provoquées par les champignons indiens, le sorcier et ses machines animées) qui vont modifier la vision que j’ai eu de l’histoire et son déroulement.

C’est donc un échec du point de vue de l’uchronie. Mais est-ce pour autant un mauvais roman ? Non … si … Bôf.

Car au-delà de ce raté du genre, on tombe sur un récit assez creux, plus proche d’un James Bond avant l’heure que de toute autre chose. La reconstitution est belle, Florence est représentée avec beaucoup de détails mais c’est un décor creux, et un roman qui tourne un peu à vide pour moi.

J’aurais en fait tendance à le déconseiller, sauf aux amateurs inconditionnels de l’Italie uchronique.

smcleish's review

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2.0

Originally published on my blog here in February 2001.

What might have happened if Leonardo da Vinci had concentrated exclusively on engineering, creating working versions of many of the devices he sketched? That is the intriguing idea behind Pasquale's Angel, which is set in a sixteenth century where these devices have precipitated an Industrial Revolution centred on Florence.

The central character of the novel is apprentice artist Pasquale, who becomes involved in momentous events after meeting journalist Niccolo Machiavegli. While drawing an illustration for his newspaper of an argument between one of da Vinci's entourage and visiting artist and diplomat Raphael, news comes to the office that one of Raphael's aides has been murdered. This is a minor locked room mystery which is modelled extremely closely on book:The Murders in the Rue Morgue|3301759].

The plot of the novel, which is rather poor, is mainly an excuse to speculate on what might have become of some of the important figures of the time in the changed background posited by McAuley. It is as a novel of ideas that Pasquale's Angel is interesting. I'm not sure how much an early Industrial Revolution is actually possible, given that the advances two hundred years later depended on economic and technological developments which had hardly begun in the sixteenth century. Capitalism was in its infancy, and materials technology, in particular steel manufacture, was not advanced enough to actually make some of the devices described, such as large scale steam engines.[
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