Reviews

Le faiseur de veuves by Mike Resnick

dantastic's review against another edition

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3.0

I read this while waiting for the last three Dark Tower books to come out. Jefferson Nighthawk proved to be a good Gunslinger surrogate.

Jefferson Nighthawk is arguably the deadliest gunfighter in the galaxy. One day, he finds out he has an incurable disease and has himself cryogenically frozen until a cure is found, paying for it with all the money he earned bounty hunting. Unfortunately, inflation hits and Nighthawk's money starts running low. The facility he's housed in makes him a deal and creates a young Jefferson Nighthawk clone to earn money to keep him frozen. Unfortunately, the clone isn't exactly the most stable person, mostly due to the fact that while he retain's Nighthawk's skills, mentally, he's very immature.

This was the first of the original Widowmaker trilogy and pretty good, although the next two are better. Even though the clone is a jerk, you feel for him. The action is really good and by the end, you're hoping there's another jolt of inflation so they'll clone Nighthawk again, which they do...

Resnick's writing is never anything to shout about but is like a good bass player. He don't exactly notice he's there but the end result is enjoyable.

sling's review against another edition

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adventurous fast-paced
  • Plot- or character-driven? Character
  • Strong character development? No
  • Loveable characters? It's complicated
  • Diverse cast of characters? Yes
  • Flaws of characters a main focus? Yes

3.0

riduidel's review

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1.0

Comme d’habitude, on se balade ici sur les mondes de la frontière, une espèce de far-west de pacotille aux franges de l’expansion humaine dans la galaxie, où on envoie le clone du plus grand tueur à gages abattre une espèce de patron mafieux. Il y a de l’action, des meurtres, de la passion et pas mal de carnage. En bref, on est en terrain connu, puisque presque tous les romans de [author:Resnick] se situent sur cette frontière qui, comme je l’ai dit, n’est rien d’autre qu’un far-west transposé. On a donc droit à tous les mythes de a conquête américaine : la loi n’existe pas vraiment, chacun est libre de se faire son destin à la main, et les noms ne sont que l’image que les gens veulent bien donner d’eux. Si le style de [author:Resnick] m’emballe toujours autant, le moins qu’on puisse dire, c’est que cette histoire manque cruellement d’âme. Le héros est un tueur (certes jeune et émotif) mais qui ne s’interroge pas du tout sur le prix de la vie, ni sur le sens de son travail. Et les différents personnages de ce roman pas trop long n’ont strictement aucune saveur. Que ce soit le Marquis de Queensburry, le père noël, ou le lézard, on dirait des affiches : auncune vie propre, une personnalité d’emprunt. On est plus dans le western spaghetti qu’autre chose. Et c’est là qu’on peut le mieux plonger dans la frontière pour en comprendre le sens et la réalité : c’est un monde du XXXème siècle, où l’informatique est bien cachée, les IA quasi absentes, et l’humanité dominatrice à travers la galaxie (ça faisait longtemps qu’on n’avait plus vue d’hégémonie humaine). Ce qui nous ramène une fois de plus à de vieux schémas, puisque du coup, les gens se parlent (en vrai ou par radio plus rapide que la lumière), la structure sociale est toujours la même qu’en notre bon XXIème siècle, et les motivations des personnages sont compréhensibles à un point rare. Ce qui prouve finallement, que [author:Resnick] est un écrivain habité, et que lorsqu’il tente de sortir de son idée géniale (l’Afrique dans l’espace), ses romans sont au mieux normaux, au pire oubliable, et là, on est dans le pire de [author:Resnick] (du moins, c’est le pire roman que j’ai lu de lui). Il reste distrayant, mais franchement pas indispensable.
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