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4.1 AVERAGE
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challenging
informative
reflective
slow-paced
medium-paced
challenging
reflective
slow-paced
This book just highlights the importance of intersectionality. I did not care for how women, who had fewer opportunities for education and travel to France were treated.
But the way people act on returning from studying abroad is pretty much the same across all races. That really threw me out of the first chapter.
But the way people act on returning from studying abroad is pretty much the same across all races. That really threw me out of the first chapter.
challenging
hopeful
informative
inspiring
reflective
sad
fast-paced
2/5
Je pensais donner 3 étoiles à ce livre (au moins) et puis je me suis souvenue de ce lien qu'il fait entre "têtes à claques " et "femmes à viols".
Le début est très intéressant, beaucoup des points abordés dans ce livre sont encore d'actualité, ce sont des discussions qu'on a encore aux Antilles, des maux persistants à travers les époques et générations Antillaises Noires.
Rien ne m'avait préparée à ce qui allait suivre, le chapitre décrivant le comportement de la femme noire face à l'homme blanc, est plus que décevant. Fanon conclu un diagnostique des maux de la femme noire suite à une des analyses les plus superficielles qui soit.
La souffrance spécifique d'être femme Africaine arrachée à ses siens pour être embarquée sur un négrier où les premières instances de violence sexuelles ou même d'esclavage sexuelle, commencent et se poursuivront dans les plantations se multipliant dans les colonies des différentes puissances Européennes à travers les Amériques, et ce qui durera près de 400 ans, sans compter la période post abolition.
En ces quelques lignes, je me rend compte d'avoir fait une bien meilleur analyse du comportement (vulgarisé et stéréotypé par Fanon) des "juxta-blanches", comme il surnomme de manière plus qu'insultante, les femmes noires Antillaises dans ce livre.
Les dernier chapitres, de cet essai se donnant des airs de révolutionnaire anti-colonial, seraient mieux qualifiés comme étant des torchons misogyne ( et misogynoir) et aussi homophobe.
Ce fut une lecture décevante, enrageante en tant que femme Noire Antillaise, cet essai est très centré sur l'expérience et la psyché de l'homme Noir, la femme Noire reste un simple accessoire à cette lutte, dont elle est exclue (diabolisée) et ses combats propres invisibilisés, minimisés et vulgarisés.
Je pensais donner 3 étoiles à ce livre (au moins) et puis je me suis souvenue de ce lien qu'il fait entre "têtes à claques " et "femmes à viols".
Le début est très intéressant, beaucoup des points abordés dans ce livre sont encore d'actualité, ce sont des discussions qu'on a encore aux Antilles, des maux persistants à travers les époques et générations Antillaises Noires.
Rien ne m'avait préparée à ce qui allait suivre, le chapitre décrivant le comportement de la femme noire face à l'homme blanc, est plus que décevant. Fanon conclu un diagnostique des maux de la femme noire suite à une des analyses les plus superficielles qui soit.
La souffrance spécifique d'être femme Africaine arrachée à ses siens pour être embarquée sur un négrier où les premières instances de violence sexuelles ou même d'esclavage sexuelle, commencent et se poursuivront dans les plantations se multipliant dans les colonies des différentes puissances Européennes à travers les Amériques, et ce qui durera près de 400 ans, sans compter la période post abolition.
En ces quelques lignes, je me rend compte d'avoir fait une bien meilleur analyse du comportement (vulgarisé et stéréotypé par Fanon) des "juxta-blanches", comme il surnomme de manière plus qu'insultante, les femmes noires Antillaises dans ce livre.
Les dernier chapitres, de cet essai se donnant des airs de révolutionnaire anti-colonial, seraient mieux qualifiés comme étant des torchons misogyne ( et misogynoir) et aussi homophobe.
Ce fut une lecture décevante, enrageante en tant que femme Noire Antillaise, cet essai est très centré sur l'expérience et la psyché de l'homme Noir, la femme Noire reste un simple accessoire à cette lutte, dont elle est exclue (diabolisée) et ses combats propres invisibilisés, minimisés et vulgarisés.
challenging
informative
slow-paced
La conclusion est extraordinaire mais malheureusement je ne peux pas en dire autant du reste du livre. Peut-être je l'aurais lu quelques années plutôt je ne l'aurais pas perçu ainsi mais je ne peux m'empêcher aujourd'hui de voir les analyses problématiques du livre notamment sur les femmes ou encore les aspects généralisants sans empirisme et essentialisants. Je ne me sens pas super à l'aise avec la psychanalyse et ce livre ne m'a pas encouragé à déconstruire mes aprioris sur ce domaine même si je trouve pour autant que le spectre d'analyse de la psychanalyse sur les pulsions de domination et les représentations sexuelles fantasmées racistes sont des analyses importantes. L'écriture de Franz Fanon est pour moi assez désagréable car trop souvent incohérente, guindée, surchargée et baroque. Je reconnais une certaine poésie à certains passages mais généralement je trouve la lecture lourde. Je pense que peut-être ce n'était pas le bon moment pour moi de livre cet ouvrage fondamentale.
Le propos général de Franz Fanon reste essentiel et intéressant (surtout si l'on n'est pas initié aux postcolonial studies et aux lectures antiracistes). Je suis contente d'avoir lu l'ouvrage car il m'a ouverte à la pensée de Fanon, à des analyses pertinentes de la vie d'un homme noir antillais dans un monde de domination blanche européenne, du partage des effets dévastateur de la colonisation sur l'aliénation et la névrose des colonisés et de l'espoir d'un monde de demain sans les distinctions sociales de "races". Je pense qu'une seule chose m'attend pour mieux comprendre la pensée de Fanon : lire Les damnés de la terre.
Le propos général de Franz Fanon reste essentiel et intéressant (surtout si l'on n'est pas initié aux postcolonial studies et aux lectures antiracistes). Je suis contente d'avoir lu l'ouvrage car il m'a ouverte à la pensée de Fanon, à des analyses pertinentes de la vie d'un homme noir antillais dans un monde de domination blanche européenne, du partage des effets dévastateur de la colonisation sur l'aliénation et la névrose des colonisés et de l'espoir d'un monde de demain sans les distinctions sociales de "races". Je pense qu'une seule chose m'attend pour mieux comprendre la pensée de Fanon : lire Les damnés de la terre.
informative
medium-paced
Fanon has been a bit of a blind spot in my theoretical reading, and I've been seeing him referenced enough that I figured it was time to fix that, so I picked up a bunch of his books from the library. The main idea here (that black people are culturally rewarded when they adopt white mannerisms and that this overall has a negative effect on their mental well being) is one I've seen referenced before, but this was the first book to really dive into the consequences using what Fanon observed in Martinique in particular. Absolutely worth your time.